Je m'absente quelques mois de la blogosphère et, à mon retour, quelle n'est pas ma stupéfaction de découvrir qu'on a profité de ce moment d'inattention de ma part pour s'en prendre à moi.
Amis de la pédale, pourfendeur du code de la route, ténor de la tête vide, libre de l'entrave d'un casque qui pourrait vous sauver la vie, ne cherchez plus! Votre héraut s'est enfin dressé.
Votre messie même. Il s'est auto-proclamé ainsi sur un de ses posts. (Je crois, car je ne l'ai pas lu jusqu'à la fin...)
Votre héros, votre héraut, bref le porte-étendard de la légèreté de l'être urbain montréalais: Vélomane.
Oh qu'il est bien branché ce superhéros. Il écrit sur le Bixi, sur les hipsters, sur la course, sur les maudits banlieusards qui osent rouler en voiture dans les artères du centre-ville et bien sûr sur votre humble serviteur...
Monsieur se fend d'une tartine à mon endroit si joliment intitulée: Martineau ce héros.
Là, où ce trublion du pignon perd toute crédibilité, c'est lorsqu'on lit sa biographie. Il se dit journaliste. Une rapide recherche sur son nom nous mène où? Vous l'aurez deviné, directement à La Presse. Il s'agit donc d'une nouvelle atteinte à ma réputation par l'un de ces syndiqués mercenaires de l'empire Gesca qui use de tous les moyens les plus bas pour s'en prendre à moi.
La prochaine fois que je vois un cycliste, je ne lèverai peut-être pas le pied de l'accélérateur en espérant presque ce soit toi.
Surveille bien ton dérailleur...
À mon sujet
- Appellez-moi Richard
- Le vrai Richard Martineau? Que nenni! Pourquoi ce blogue alors? Ça aurait pu être Guy-A., c'est Martineau. Pour ses amateurs, au lieu de m'invectiver, consolez-vous en disant que la parodie est une forme d'hommage...
jeudi 1 octobre 2009
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