Vous l'aurez eu en primeur sur ce blogue. Ma pensée n'était pas totalement développée, mais la version finale, paru dans le Journal de Montréal n'était pas loin de mon premier jet. Quand la réalité (me) dépasse.
Anyway, comme je disais à une recherchiste de la radio avant de lui raccrocher la ligne au nez. Je ne traverse pas de piquet de grève. J'envoie mes textes par e-mail!
MISE AU POINT
Ce week-end, des journalistes m'ont contacté pour savoir si je vais continuer de collaborer au Journal de Montréal malgré le lock-out. Ma réponse est Oui.
Pourquoi ? Tout simplement parce que je suis pigiste. Par choix. Si, demain, le Journal décidait de ne plus avoir recours à mes services, aucun syndicat ne lèverait le petit doigt pour venir à ma rescousse.
Le conflit actuel oppose le Journal à ses employés. Or, je ne suis pas un employé du Journal : je suis un fournisseur de services. Et Quebecor n'est pas mon employeur: il est mon client.
Je sais que certains lecteurs n'aimeront pas ma décision. Mais mon rôle n'est pas d'être aimé ou pas, c'est de dire le plus honnêtement possible ce que je pense...
Cela dit, j'espère sincèrement que les deux parties impliquées dans ce conflit arriveront à s'entendre.
1 commentaire:
Hihi!!!Je viens de voir ton blogue pour la 1ere fois. bizard que tu n'est pas plus de comms!! Ca viendra.
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