Pour rectifier le tir un peu, je vous envoie à l'article paru sur Canoë ici plutôt que sur celui qui est paru sur le site Web de Radio-Canada, comme j'avais fait dans mon blogue officiel. (Parenthèse: les vifs d'esprits et les ratoureux (et peut-être même Stanley Péan, allez savoir) remarqueront que je fais rarement des liens vers des nouvelles du site Canoë afin de préserver un tantinet d'indépendance journalistique face à mon employeur. Et, on en conviendra, cela sert beaucoup dans un argumentaire lorsque je dois expliquer pourquoi ma chronique est encore publiée dans Le Journal de Québec.)
Au cas où vous auriez manqué mon panégyrique, je vous en fais gré ici aussi. À vous de l'apprécier dans le texte et dans le fond.

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